2008: Entrée dans la vie active.
Après pas mal de recherche et un forum des métiers plutôt intéressant, je me retrouve avec 2 offres d'emplois entre les mains.
Un CDI pour un grand magasin d’ameublement venant du nord de l’Europe et un CDD pour un magasin de téléphonie rouge (SFR)...
Après une grande réflexion je fais le choix de la raison et j'opte pour le CDI. Premier job idéal après des études dans le commerce. Vendre pour le géant suédois. Ça ne sera pour commencer que des hot-dogs et des biscuits dans le traditionnel bistro/épicerie après les caisses du magasin.
2010: Participation à l'ouverture d'un magasin et poste de vendeur (le vrai)
Me voilà arrivé dans cet immense bloc de béton encore vide, pas d’ascenseur, pas de cantine, pas de marchandise... Rien. Ce super défi qui s'offrait à nous, celui d'en faire un magasin IKEA.
A l'automne, le magasin de Vernier (Genève) ouvre ses portes dans l'effervescence. Beaucoup de travail et de bonne humeur ont créé cet endroit chaleureux chère à tant de monde.
2018:
début de la fin et du commencement...
Ce ne fut pas la plus belle année de ma carrière mais celle qui changera ma vie. Car en effet après 10 années de bons et loyaux services au sein de l'oeuvre de M. Ingvard Kamprad, ma motivation a quelque peu disparu et l'envie qui me trottait dans la tête depuis mon adolescence avait pris le dessus. Créer ma propre entreprise.
2019: de la réflexion au projet
Comme toute personne qui quitte son emploi après tant d'année, je me suis remis en question. L'idée de créer ma boîte me transcendait et en même temps me terrorisait. Mais la détermination est là, encore plus important j'avais le soutien de mon épouse.
Maintenant reste à savoir dans quel domaine. Je n'avais connu qu'une entreprise. Je savais que j'aimais rendre service, j'aimais la technologie et j'aimais bricoler...
Le déclic est venu le jour où mon aspirateur robot que j'avais payé une fortune quelques années auparavant a commencé à rendre l'âme.
Attaché à des valeurs écologiques
je ne voulais pas simplement l'apporter à la déchetterie et en acheter un autre, c'était gaspiller. J'ai donc commandé des pièces et je me suis lancé dans sa réparation. Eurêka!
J'ai adoré cette expérience.
En poussant ma réflexion plus loin, je me suis dit, j'aime rendre service, je n'aime pas gaspiller et j'adore réparer... Qu'est ce qui casse, qu'on utilise tous les jours et que l'on n'a pas toujours le temps de faire réparer? Notre smartphone!!!
2019 (bis):
de la formation au lancement.
Je me suis donc mis a la recherche d'une formation
dans ce domaine. Je ne voulais pas m'improviser réparateur de smartphone
et trifouiller ces petites machines si chères à nos yeux sans réellement en connaitre leurs anatomies.
Je suis maintenant prêt à vous rencontrer pour redonner vie a votre téléphone!!!